Projet de Gestion des Eaux pluviales et d’adaptation au changement climatique - PROGEP I

PROGEP (PHASE 1)

Le Projet de Gestion des Eaux pluviales et d’adaptation au changement climatique (PROGEP) lancé en 2012, a été conçu comme étant une composante du Plan Décennale de Lutte Contre les Inondations (PDNA) qui est aligné sur les objectifs du Plan Sénégal Emergent (PSE) et de l’Acte 3 de la Décentralisation le PROGEP.

 

Projet de Gestion des Eaux pluviales et d’adaptation au changement climatique - PROGEP I

 

COMPOSANTES DU PROGEP

Pour faciliter l’atteinte de son objectif de développement (ODP), le PROGEP a été organisé en quatre (04) composantes subdivisées en 10 sous-composantes. Ces dernières sont déclinées en activités, elles-mêmes matérialisées, dans leur grande majorité par des marchés.

 

Les composantes et les sous-composantes sont indiquées ci-après :

  • Composante A : Intégration du risque d’inondation dans la planification urbaine qui comprend les sous-composantes suivantes :

 

  • Sous-composante A.1. : Planification et gestion urbain ;
  • Sous-composante A.2. : Renforcement institutionnel et des capacités des acteurs du Gouvernement et des collectivités locales ;
  • Sous-composante A.3. : Formulation d’un programme de gestion intégrée des eaux pluviales et d’adaptation au changement climatique.

 

  • Composante B : Construction et gestion des ouvrages de drainage

 

  • Sous-composante B.1. : Investissements de drainage ;
  • Sous-composante B.2. : Exploitation et maintenance des réseaux de drainage.

 

  • Composante C : Engagement des communautés dans la réduction du risque d’inondation en milieu urbain et l’adaptation au changement climatique

 

  • Sous-composante C.1. : Sensibilisation, communication et renforcement de capacité des communautés locales pour la résilience aux inondations ;
  • Sous-composante
  • C.2. : Investissements communautaires pour la réduction des risques d’inondation ; Sous-composante
  • C.1.: Sensibilisation, communication et renforcement des capacités des communautés locales .

 

  • Composante D : Coordination, gestion et suivi-évaluation du Projet

 

  • Sous-composante D.1. : Gestion et coordination du projet. 

 

CADRE INSTITUTIONNEL ET ORGANISATIONNEL

Le Comité de pilotage (CP) du PROGEP qui était, jusqu’en 2019, présidé par la Primature, est responsable du pilotage stratégique du projet. Il est assisté par le Comité technique (CT) dont la présidence et la vice-présidence sont assurées respectivement par la Direction de l’Assainissement (DA) et la Direction de l’Urbanisme et de l’Architecture (DUA). Ces deux instances regroupent l’ensemble des structures centrales et déconcentrées impliquées dans le secteur.

 

Pour faciliter la mise en œuvre des activités du PROGEP à Saint-Louis, notamment celles relatives à la sous-composante A.3, il a été mis en place (i) un Comité régional de pilotage présidé par le Gouverneur de région, appuyé par un Comité technique restreint coordonné par le DREEC de Saint-Louis.

 

L’exécution du PROGEP est confiée à l’Agence de Développement Municipal (ADM) qui relève du Ministère chargé des collectivités territoriales, à l’exception de la Sous-composante B.2(Exploitation et maintenance des ouvrages) mise en œuvre par l’Office national de l’Assainissement du Sénégal (ONAS).

 

L’ADM ASSURE LA COORDINATION

Le choix de l’ADM, comme entité d’exécution et de coordination du Projet, se justifiait par :

  • son expérience capitalisée dans la gestion de projets financés par des partenaires techniques et financiers (PTF) dont la Banque mondiale.
  • ses capacités techniques caractérisées par l’existence d’une équipe pluridisciplinaire d’experts rompus à la gestion de projets de cette envergure, nonobstant sa capacité à mobiliser, si nécessaire, toute expertise complémentaire ;et
  • sa maitrise des procédures fiduciaires et de gestion environnementale et sociales (GES) des PTF.

 

COUTS ET SOURCES DE FINANCEMENT DU PROGEP

Le PROGEP a bénéficié respectivement :

  • d’un financement initial de 72,9 USD provenant d’un crédit de l’IDA de 55,6 millions USD approuvé le 24 août 2012, d’un don du FND de 4 millions USD approuvé le 21 mars 2013) et d’une contrepartie de l’Etat du Sénégal estimée à 13,3 USD ;
  • d’un premier financement additionnel (FA) de 43 millions USD, constitué d’un crédit de la BM de 35 millions USD approuvé le 20 juin 2015, d’un don du FND de 5 millions USD objet d’un avenant daté du 16 septembre 2015, et d’une contrepartie de l’Etat du Sénégal de 2,9 millions USD et ;
  • d’un deuxième financement additionnel (FA) provenant du FEM, sous forme de subvention non remboursable,
  • d’un montant de 5 504 587 USD ; la convention y afférente a été approuvée le 28 mars 2017 pour prendre en charge le renforcement de la sous-composante A3 du projet.

 

Avec les deux Financements additionnels, le coût total du PROGEP est finalement passé de 72,9 millions USD à 121,3 millions USD.

 

PARTENAIRES DE MISE EN ŒUVRE ET AUTRES PARTENAIRES DU PROJET 

Les principaux partenaires de mise en œuvre du PROGEP sont essentiellement :

  • le Gouvernement du Sénégal (GdS) qui en est le maitre d’ouvrage liés respectivement à la Banque mondiale et au FND par trois accords de prêt et un accord de don (y compris l’avenant sanctionnant le premier Financement additionnel) ;
  • l’Agence de Développement municipal (ADM) qui en est l’entité́ d’exécution, en vertu (i) de l’accord subsidiaire signé avec le ministère en charge des finances le 12 novembre 2012, et (ii) de l’accord de projet signé avec le 24 aout 2012, avec la Banque mondiale ;
  • la Banque mondiale, co-financier dudit projet, liée au GdS par les accords de crédit n° IDA- 5096-SN du 24 aout 2012 et n° IDA-5663-SN du 29 juin 2015 ; le Fonds nordique de Développement (FND) co-financier du Projet, signataire avec l’Etat de l’accord de don n° NDF C33 du 21 mars 2013 et de son avenant signé le 16 septembre 2015 ;
  • l’Office national de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) qui, en vertu des arrangements institutionnels issus du premier financement additionnel, est l’agence d’exécution de la sous-composante B.2 relative à la gestion (exploitation et maintenance) des ouvrages réalisés par le projet ;
  • les Villes de Pikine et de Guédiawaye liées à l’ADM par des contrats de ville signés respectivement les 12 et 14 novembre 2012 ;
  • les communes de l’agglomération de Saint-Louis (Gandon, Saint-Louis, Ndièbène-Gandiol, Fass-Ngom et Mpal) impliquées dans le PROGEP à la faveur des deux (02) financements additionnels ;
  • les administrations déconcentrées, comme les Gouvernances de Dakar et de Saint-Louis, les Préfectures de Dakar, de Pikine, de Guédiawaye, de Rufisque et de Saint-Louis, les services techniques régionaux de Dakar et de Saint-Louis qui interviennent pour accompagner la mise en œuvre du projet au plan local, au travers notamment du comité régional de pilotage et du comité technique restreint ;
  • l’Agence régionale de Développement (ARD) de Saint-Louis qui assure, entre autres, la coordination locale des activités concernant la promotion d’une intercommunalité́ au niveau de l’agglomération de Saint-Louis ;
  • etc.

 

Les autres partenaires sont constitués par les principales institutions gouvernementales impliquées dans la mise en œuvre du PROGEP. Il s’agit des Ministères chargés de l’Urbanisme, de l’Assainissement, de l’Environnement et de l’Intérieur, à travers, notamment, la Direction de l’assainissement, la Direction de l’Urbanisme et de l’Architecture (DUA), la Direction de la Surveillance de l’Occupation du Sol (DSCOS), la Direction de la Protection civile (DPC), la Direction de l’Environnement et des Etablissements classés, la Brigade nationale des Sapeurs-pompiers (BNSP), etc. La Délégation générale au Pôles urbains de Diamniadio et du Lac Rose (DGPU), l’Université Gaston Berger et l’Université Cheikh Anta Diop figurent également parmi les autres partenaires du PROGEP. Il s’y ajoute les acteurs de la Société́ civile (ONG, OCB, etc.), du Secteur privé (entreprises, missions de contrôle, fournisseurs, etc.) et les communautés locales qui sont les principales bénéficiaires du projet.

 

La participation des parties prenantes a été définie dans le cadre du PAD, à travers le tableau intitulé « Distribution des responsabilités entre les Municipalités, l’ADM et le mécanisme de mise en œuvre de l’ISC ». Ce tableau met également en exergue les rôles et responsabilités entre ces partenaires et l’Assistant technique international (ATI) qui apporte son appui, en ce qui concerne particulièrement la mise en œuvre de la composante B et de certaines lignes d’actions de la composante A.

 

STRATEGIE DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET 

Il a été adopté, pour l’exécution du PROGEP, une stratégie participative et inclusive, impliquant les différentes parties prenantes énoncées ci-dessus, au moyen de conventions et de protocoles d’accord. Les cadres de concertation, de coordination et d’action qui ont facilité́ la mise en œuvre du Projet étaient : (i) au plan national, le Comité de Pilotage (CP), le Comité technique (CT) et le Groupe technique opérationnel (GTO) et au niveau de Saint-Louis (pour la sous-composante A.3), le Comité régional de pilotage et le comité technique restreint. Ils étaient axés sur le renforcement des capacités institutionnelle, l’établissement d’un partenariat fort entre les différentes parties prenantes, gages de l’appropriation des activités et des résultats du projet ainsi que de sa pérennisation.

 

AU PLAN OPERATIONNEL, CETTE STRATEGIE ETAIT FONDEE SUR TROIS (03) PILIERS :

  • La protection : devant l’urgence et dans le souci de protéger les populations contre les inondations qui ont provoqué beaucoup de dégâts humains et matériels, le projet a mis en place un système de drainage des eaux pluviales ;  
  • La pérennisation : la récurrence des inondations exigeait la consolidation des acquis et la mise en place d’une stratégie efficiente pour assurer le fonctionnement durable des ouvrages réalisés dans le cadre du projet. C’est pour y parvenir que l’accent a été́ mis sur l’engagement des communautés locales qui sont les principales bénéficiaires, et le renforcement de l’ONAS, aux plans institutionnel et financier (cf. étude sur la viabilité financière du secteur de l’assainissement pluvial) ;
  • La prévention : par-delà la lutte active contre les inondations, il était aussi nécessaire d’en réduire la prévalence, par une meilleure prévision et une organisation plus efficace des interventions, au moyen d’outils de planification et de gestion urbaines appropries prenant en compte les risques climatiques.

 

DES RESULTATS PROBANTS

L’Objectif de Développement du Projet (ODP) du PROGEP est de « réduire les risques d’inondation dans la zone péri-urbaine de Dakar et améliorer la capacité de planification et de mise en œuvre de pratiques de gestion de ville durable, notamment la résilience au climat, dans des zones urbaines sélectionnées (Saint-Louis et Diamniadio) ». Ce projet avait pour ambitionne, d’une part, de lutter contre les inondations dans la zone péri-urbaine de Dakar (Pikine et Guédiawaye) qui est très vulnérable à ce phénomène et d’autre part, de développer des stratégies et des outils de promotion, à titre d’expérimentation et de pratiques sous-tendues par l’approche « ville durable » au niveau du Pôle urbain de Diamniadio et de l’agglomération de Saint-Louis.

 

Pour atteindre l’ODP, il a été adopté une démarche holistique et intégrée combinant des solutions de types infrastructurel et non infrastructurel. Elle a été́ déclinée en trois étapes :

  • (i) protection avec la mise en place d’un système de drainage des eaux pluviales;
  • (ii) pérennisation des ouvrages réalisés par une gestion efficiente combinant l’engagement communautaire et citoyen, ainsi que le renforcement du dispositif institutionnel de gouvernance du secteur de l’assainissement et;
  • (iii) prévention, par l’anticipation, grâce à une meilleure intégration du risque climatique dans les outils de planification et gestion urbaines.

 

Si des facteurs endogènes et d’autres phénomènes liés à la conjoncture internationale, ont pesé sur l’exécution du PROGEP, il s’avère que, malgré diverses difficultés rencontrées, la quasi- totalité des activités projetées dans ses quatre (04) composantes, ont été́ réalisées.

 

Ainsi, au titre des mesures de type non infrastructurel, il a été réalisé, en amont, plusieurs études stratégiques pour planifier et guider les interventions du PROGEP. Ces études se rapportent, pour l’essentiel (i) au Plan Directeur de Drainage des eaux pluviales de la région périurbaine de Dakar (PDD), (ii) au Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) couplé à des Etudes d’Impact Environnemental et Social (EIES) et des Plans de Gestion Environnementale et Sociale (PGES), (iii) au Cadre de Politique de Réinsertion des Populations (CPRP) décliné en Plans d’Actions de Réinstallation (PAR), (iv) aux Plans d’Urbanisme de Détails (PUD) de Pikine-Guédiawaye et du Pôle urbain de Diamniadio et environs, (iv) au Plan directeur d’Urbanisme (PDU) de l’agglomération de Saint-Louis, (v) à l’étude de viabilisation du secteur de l’assainissement pluvial recommandant, entre autres, la mise en place d’un Fonds de l’Assainissement (FA), (vi) à la modélisation et au suivi environnemental de la zone côtière de Saint-Louis, (vii) à la mise en place d’une intercommunalité dans l’agglomération de Saint-Louis, (viii) à la définition d’un modèle de gouvernance du Pôle urbain de Diamniadio, (ix) au Système d’information géographique de Pikine et Guédiawaye (SIG), (x) au Système d’Information territorial (SIT) de Saint-Louis, (xi) à la d’une politique nationale urbaine intégrant la problématique «ville durable », (xii) au plan de formation des acteurs du PROGEP, (xiii) à la capitalisation et à la gestion des connaissances tirées de la mise en œuvre du Projet, (xiii) aux activités d’Information, d’Education et de Communication (IEC) pour promouvoir la mobilisation communautaire et l’ingénierie sociale, etc.

 

S’appuyant sur le Plan directeur de Drainage (PDD), les innombrables ouvrages hydrauliques réalisés à Pikine et à Guédiawaye, en trois phases successives, ont contribué à améliorer l’évacuation des eaux de ruissellement, le cadre et les conditions de vies des populations dans lesdites villes. Les investissements physiques initialement programmés au travers des contrats signés avec des entreprises ont été réalisés à un taux satisfaisant (97%) pour un coût total de 80,6 millions USD, soit 45,133 milliards F CFA. Ces réalisations concernent principalement 29,3 km de canaux primaires fermés et ouverts de grande section, 21 km de canaux secondaires fermés et ouverts, 21 bassins d’écrêtement aménagent d’une capacité cumulée de 700 000 m3, 150 000 m2 (soit 25 000 ml) de voiries en pavés autobloquants éclairées et assainies, 68 projets d’investissement communautaire (PIC), 1 station de pompage à grand débit, 3 stations secondaires de pompage.

 

Les principaux résultats obtenus polarisent environ 167 000 personnes qui sont directement protégées des inondations dont 52% de femmes et 1000 ha préserves sur des objectifs respectifs de 130 000 personnes et 600 ha, soit un taux d’efficacité de plus de 100 %.

Au regard du cadre de résultats du PROGEP, les objectifs spécifiques par composante et les cibles ont été atteints. En effet, pour la composante A, les divers outils relatifs à la promotion de la planification et de la gestion urbaines intégrant les risques climatiques ont été produits. Les investissements physiques (canaux, bassins, voiries, stations de pompage, etc.) cibles dans la Composante B, ont été réalisés conformément aux prévisions initialement définies, malgré diverses contraintes enregistrées. La mise en œuvre des activités envisagées dans la composante C a effectivement favorisé un véritable engagement citoyen pour la protection et la gestion des ouvrages d’une part, et renforcé les capacités des différentes parties prenantes d’autre part. Enfin, la composante D a été exécutée convenablement, permettant, ainsi, d’assurer une bonne gestion du projet et l’atteinte des résultats.

 

Au-delà de la mise en place d’infrastructures de drainage, l’autre finalité́ du PROGEP a été la production d’outils et le développement de bonnes pratiques de gestion des inondations, et plus généralement, une culture de la gestion des villes durables qui sont deux facteurs essentiels à la résilience des communautés et des écosystèmes urbains aux effets du changement climatique.

 

Les principales leçons apprises suite à l’exécution du projet portent sur la stratégie et les dispositions pratiques qui ont été adoptées aux fins d’assurer la durabilité des investissements et la pérennité de l’engagement des communautés. Pour ce faire, le recours à un financement durable est indispensable pour maintenir les acquis du projet dans les moyens et long termes. Dans ce cadre, la motivation pérenne des communautés et l’inclusion sociale permanente constituent également des gages de succès pour le projet et, surtout, la pérennisation de ses acquis.

 

Au total et nonobstant la survenue de la pandémie de la Covid-19 qui a négativement impacté sur l’achèvement des travaux relatifs aux ouvrages de la phase 2, tranche 2, des résultats significatifs ont été obtenus dans les domaines de la lutte contre les inondations grâce aux infrastructures et aménagements réalisés, à l’engagement des communautés, à la planification urbaine intégrant les risques climatiques, au renforcement des capacités des acteurs concernés, en termes, notamment, de connaissances et de compétences acquises, d’équipements ainsi que de changements de comportements. Ce sont autant d’acquis à pérenniser et des modèles à consolider et dupliquer, d’autant plus qu’ils ont également positivement impacté tous les autres secteurs du développement urbain (économie, santé, éducation, jeunesse, sports, loisirs, promotion de la femme et du genre, électrification, mobilité urbaine, etc.).

 

Au total, le PROGEP a contribué, non seulement, à réduire les risques d’inondation à Pikine et Guédiawaye, mais aussi, à mettre en place des outils pertinents et opérationnels de planification et de gestion urbaines intégrant les risques climatiques et les aspects villes durables au profit des différentes localités constituant son périmètre d’intervention. Il a également permis de développer des stratégies et des outils efficients pour prendre en charge les problématiques qui interpellent la quasi-totalité des villes sénégalaises, notamment dans les domaines de l’assainissement pluvial, de la lutte contre l’érosion côtière et mal urbanisation, etc. A ce titre, on peut dire que ce projet à une valeur démonstrative et ses acquis sont riches d’enseignements et méritent, de ce fait, d’être davantage capitalises.

 

Initialement, la mise en œuvre du PROGEP couvrait la période allant du 21 novembre 2012 au 31 décembre 2019. Elle a été, dans un premier temps, prolongée jusqu’au 31 mars 2020 et, ensuite jusqu’au 31 mai 2020, du fait de la pandémie de la  COVID-19.

 

PierreColy-coordinateur-Progep-ADM

 

 

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